Sophie Cabarrrou

qui suis-je?

Sophie Cabarrou

D’abord, il y a eu le besoin de comprendre. De me comprendre. Le qui-suis-je? Le pourquoi de mes actions et désirs… saisir mon fonctionnement et en miroir celui des autres, comme une obligation vitale. Pas par simple curiosité mais le fruit d’un vif sentiment de responsabilité : la croyance profonde qu’actions, paroles et même pensées ont un impact sur le monde. Qu’il est donc important de se connaître au plus intime, pour se parfaire.

Par loyautés familiales le premier chemin que j’ai emprunté fut celui du service public. Leadership, justice, responsabilité… de puissants moteurs étaient déjà à l’œuvre. Beaucoup, beaucoup d’engagement… un profond besoin de justice et de réparation se dessinait. 

Mais… un manque de douceur et de légèreté, évident. Un monde dur, exigeant, parfois dangereux même.

A coté, sans savoir alors combien c’était métaphorique, je plongeais, en apnée, suspendue, cherchant la profondeur et… trouvant des états de conscience élargie. 

En 2008, des profondeurs émerge une évidence: je dois apprendre à faire autre chose. Mais quoi? J’ai un été devant moi. Par une succession de hasards et de prises de conscience, je deviens “coach de vie”. Intervenir en entreprise, pour l’employeur, ne m’intéresse pas : je ne veux pas rendre les gens plus apte à supporter leurs limites. 

C’est une révélation. Je sais enfin comment s’appelle cette posture si particulière, quand j’écoute mes amis et que, leurs paroles reflétées par de puissantes questions logées dans ma tête malgré moi, ils vivent de grands changements intérieurs. Mon sentiment d’être, parfois, sur une autre longueur d’onde que mes proches se transforme en émerveillement! Cette différence s’explique, je suis orientée vers la transformation de soi, des autres, par nature. Je sais déjà coacher : c’est le reste – vivre, aimer, communiquer- qu’il faut apprendre.

Comme une première nature…

Commence alors la profonde introspection, la maturation. Entraîneuse sportive et compétitrice, l’apnée m’a familiarisé aux mécanismes à l’œuvre dans le dépassement de soi. Mais ce n’est pas encore exactement ce que je veux faire. Se dépasser, soi, c’est encore manquer de douceur. 

Cohérence oblige, j’entame un travail accompagné pour me connaître, guérir, mieux aimer, mieux vivre. J’explore ces zone où le coaching devient thérapeutique, où l’on va piocher, dans l’inconscient, le mode d’emploi du client.

Puis advient la rencontre, déterminante, avec une première méthode de nettoyage émotionnel. Simple, immédiate, définitive. Je tombe en amour avec l’accompagnement du trauma.

Et je goûte, en l’essayant sur moi, le début de la légèreté.

De mes libérations émotionnelles.

Curiosité arborescente : j’explore d’autres méthodes axées sur la gestion des émotions, puis, de fil en aiguille, mes perceptions s’ouvrant, s’affinant, j’ose des outils énergétiques et ceux issu de la pensée “quantique”. Au centre de mes apprentissages se trouve toujours, en premier lieu, la guérison du trauma. A mesure que j’en expérimente les bénéfices, la confiance en ma créativité grandit et je développe une approche personnelle, au carrefour du mentorat, du coaching, de l’accompagnement thérapeutique et de la spiritualité.

Car avec la libération émotionnelle, vient la rencontre avec le Soi. Le grand Soi. Ma grande Conscience s’éveille.

Ma spiritualité s’ancre et s’approfondit à mesure que je nettoie ce qui la masquait. Mental, toujours gourmand me fait rechercher les convergences, entre science et Conscience. Je goûte l’apaisement, une vision qui rassemble, qui unifie. Et reçois, peu à peu, des informations du subtil, l’accès à un monde des possibles. De nouveaux talents avec lesquels j’ai appris à jouer, et que je transmets désormais.

Lorsque je doute, c’est à mon intuition que je confie le soin d’apporter la réponse. En cela je suis inspirée, d’abord, par les neuroscientifiques, biologistes et physiciens. Leurs travaux aident à comprendre la mécanique émotionnelle et ses impacts. Chez les auteurs phares travaillant sur le trauma, l’inconscient, la psyché, j’apprends la puissance du dialogue intérieur. J’adhère à la notion d’intelligence émotionnelle. Puis je compare, avec les mystiques, les chercheurs de vérité, les grandes traditions. La notion du divin s’invite : tous évoquent cette même chose qu’au fond de moi je sais.

Aujourd’hui, formée à plusieurs méthodes complémentaires et enrichie de mes lectures quotidiennes, je diffuse ces beaux outils que j’expérimente avant tout pour éclairer mes propres fonctionnements, débusquer mes ombres, les transformer, puis activer un niveau de conscience supérieur.

Mon credo ?

Combiner les intelligences, additionner raison, cœur et intuition, pour se guérir et vivre avec plus de justesse, plus de liberté intérieure, de joie et d’alignement.

Aujourd’hui, j’accompagne les hommes et les femmes puissants et éveillés qui, malgré leurs réussites et leur élévation, sentent une aspiration de leur âme à grandir toujours plus, un désir d’incarner, à leurs yeux et ceux du monde, une forme de vérité intérieure plus pure encore, mais n’y parviennent pas tout à fait en raison de leurs traumas, blessures et croyances héritées.

Par ici la Conscience !

C’est le cri de ralliement qui m’est venu lorsque j’ai cherché quel nom pourrait bien porter mon rêve : celui d’ouvrir une école de la conscience.

On s’y entraînerait à élever son niveau de conscience, à jouer avec son intuition, à capter les indices qui nous parviennent de la rumeur du monde.

On y libèrerait, aussi, ses mémoires traumatiques, revisiterait les conditionnements qui en découlent.

Dessous, on découvrirait sa lumière intérieure, en osant enfin la faire vivre à travers ses propres choix, conscients et affirmés.

On se préparerait à être un humain plus libre et authentique, plus léger, plus heureux.

C’est ce que je fais, chaque jour, et que je partage avec toi.

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